Cela parait pourtant simple. On repère un bel endroit et hop … on sort son matériel et le campement est monté pour la nuit. Et bien pour moi ce n’est pas si simple le camping sauvage. Je me pause 1000 questions comme :
- S’agit il d’un terrain privé ?
- Suis je visible des habitations ?
- Est-ce autorisé ?
- Qui est dérangé par ma présence ?
- Peut être qu’un peu plus loin, l’emplacement est meilleur ?
Et bien il va falloir que je change mon format de pensée si je veux avancer. J’ai des excuses, mes vacances avec mes parents se déroulaient sur des aires de camping bien autorisées alors voila une explication …
Des pays sont très ouverts à cette pratique dans la mesure où les choses se déroulent avec respect, après avoir demandé la permission au propriétaire par exemple ; et pour une nuit bien sûr. C’est le cas par exemple de plusieurs pays Scandinaves comme la Suède, la Finlande mais aussi la Norvège.
Il faut donc être un peu culotté pour pratiquer le camping sauvage. Il faut surtout savoir être observateur pour détecter des emplacements propices. Le choix doit pouvoir concilier pas mal de paramètres. Être suffisamment plat pour pouvoir y déployer sa tante, mais aussi dans un cadre sympathique. Mais le plus important, c’est surtout de choisir un endroit qui ne dérange absolument personne, autant les riverains que la nature. Le campeur doit obligatoirement respecter la nature, emporter l’ensemble de ses déchets. Après son passage, il ne doit laisser aucune trace. Vive l’aventure … progressivement. Promis je me soigne …