J’ai pris quelques minutes pour (re)voir le documentaire tournée par Davis GUGENHEIM « une vérité qui dérange » tourné en 2006. Ce film documentaire, « une vérité qui dérange » traite du réchauffement climatique. Il est basé en très grande partie sur une présentation multimédia réalisée lors de nombreuses conférences de l’ancien Vice Président des Etats-Unis Al GORE.
Al GORE se mobilise pour le climat …
Après son échec à l’élection américaine de 2000, Al GORE se consacre presque entièrement dans la lutte contre le réchauffement climatique. Il donne de nombreuses conférences sur le sujet. Ces conférences sont données autour du globe en mettant en lumière les conclusions dramatiques annoncées par les scientifiques. De nombreux chiffres et conclusions scientifiques sont évoquées dans ce film dont. Malheureusement, toutes corroborent les risques pour le climat, notre planète donc notre vie et celle des générations futures. Al GORE en profite aussi pour évoquer le pouvoir des lobbying et de certains politiques. Ces derniers cherchent a entretenir des doutes sur ce phénomène par la désinformation. La stature de l’homme politique permet ici de décupler la porté des messages. Le film fini bien évidement par revenir au téléspectateur et sur la capacité de tous à modifier notre vie et nos habitudes par nos gestes de tous les jours.
« Chacun de nous peut apporter des changements dans la façon dont nous vivons nos vies et faire partie de la solution [au changement climatique] »
AL GORE
Al GORE ainsi que les scientifiques du GIEC ont obtenus le prix Nobel de la paix en 2007 pour cette réalisation. Nous sommes maintenant en 2019 et les avancées sur ce domaine ne sont que trop timide. Les constats perdurent bien évidement, avec les mêmes causes et les mêmes conséquences. Mais la bataille de l’opinion semble fort heureusement bien plus acquise maintenant à cette cause.

Le film complet est à voir ou à revoir en ce moment sur la plateforme Netflix.
La sensibilité environnementale progresse dans l’opinion …
Des faits multiples vont bien évidement dans ce sens comme par exemple l’augmentation de la demande en produits bio ou celui de la forte mobilisation de la jeunesse le vendredi. L’on ne peut que se réjouir que la jeunesse donne progressivement une dimension politique aux messages envoyés. Nous pouvons citer ceux que la jeune activiste écologique Greta THUNBERG délivre dans des grandes assemblées. La rage manifestée dans sa dernière intervention à l’ONU est la pour traduire l’impatience et le sentiment ressenti par l’opinion de minimisation voir d’inaction des décideurs sur cette thématique.
Nos élites politiques et économiques doivent impérativement s’inscrire dans cette dynamique. Il est temps d’aller vers plus de sobriété et d’écologie. Un risque inconsidéré sous peine de louper un virage qui ne se présentera qu’une seule et unique fois à l’espèce humaine …
« Vous n’avez pas compris ce que nous faisons. A la place de nous dire merci, faites quelque chose ! »
Greta THUNBERG
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Bonjour
J’aime bcp Greta Thunberg.
Et je pense qu’elle a mille fois raison de prendre à parti les politiques.
Ce que l’on peut faire localement ne suffira pas.
Il faut des grandes impulsions pour une puissante et courageuse dynamique.
Ces gens au lieu de la mépriser et de la décrédibiliser ferait bien de bosser.
Ils sont tellement prévisibles à toujours essayer de tuer le messager.
Ils savent que cette façon de consommer et de tout baser sur la croissance est une ineptie.
Mais ils persistent.Ce n’est pas une erreur de jugement,c’est une faute grave envers nous et envers les générations futures.
Merci Greta et merci pour ce blog qui me permet de me lâcher un peu.
Bonne journée Régis