J’ai eu l’occasion de participer récemment à une petite séance de formation / initiation à la gestion des émotions en j’en livre ici quelques thématiques que j’ai jugées intéressantes.
Les émotions … si importantes …
J’avoue que c’est assez désorganisé mais n’hésitez surtout pas à réagir et à compléter si besoin car tout ceci est terriblement d’actualité et touche bien évidement le plus grand nombre. Cette formation était animée par une spécialiste patricienne en coaching de libération des empreintes émotionnelles négatives formée à Genève par Alain KEYROL spécialiste de la thématique.
En guise d’introduction le visionnage de ce magnifique et petit court métrage de Maylis DE PONCINS nous propulse immédiatement dans la thématique …
Les empreintes émotionnelles négatives : C’est l’exemple d’Aline qui pleure dans les toilettes et dans le métro … Ces émotions sont liées à des événements du passé (venant directement de notre enfance entre 0 et 7 ans) mais qui restent présentes dans notre corps et dans nos esprits. Il faut savoir prendre conscience de ses empreintes et savoir comment s’en libérer et migrer vers des empreintes émotionnelles positives qui sont bons pour nous et nos proches.
L’impuissance apprise : cela arrive t’il dans votre univers professionnel ? Je vous invite à visionner cette courte vidéo pour en comprendre la signification.
Cela vous parle ?
Je suis sur que cela vous ramène à des situations bien vécues. Cela est tout à fait possible lors de l’intégration d’une nouvelle personne dans un service, entreprise, … et que dire des situations qui peuvent créer de l’impuissance apprise …
surtout lorsque l’on compare les individus, les intervenants, … La situation s’emballe et peut devenir de plus en plus difficile pour la suite …
Des exemples dans le quotidien sont nombreux : les empreintes émotionnelles, c’est un genre de brouillard. Si on s’en libère, on libère de la charge mentale et on avance. Ces blocages peuvent être inconscients et nous enfermer dans une prison émotionnel … Genre « je suis nul en math » : on s’enferme dans cette prison émotionnelle. On n’est pas nul, on n’aime pas c’est tout. En disant cela, on fait briller les barreaux de notre prison émotionnelle.
Il faut trouver comment libérer ceci et trouver une capacité pour pouvoir le faire. Autres exemples : peur de conduire, peur de parler en public, … un truc s’est passé à un moment de sa vie … c’est un blocage émotionnel qu’il faut savoir débloquer. Quand on est dans ce blocage, on est dans le jugement et on ressent des croyances limitantes (que l’on croit et pas du tout les autres), perte ou manque de confiance en l’autre, blocage face à la nouveauté, …
Sentiments … Emotions ? Quelles différences ?
C’est bien différents des émotions authentiques que l’on peut classifier en 4 émotions de bases :
- Joie,
- Peur
- Colère
- Tristesse.
Les autres sentiments qui sont exprimés ne sont des déclinaisons. Par exemple, la crainte ou la terreur, cela vient de la peur. Le plaisir est une déclinaison de la joie par exemple. La mélancolie est une déclinaison de la tristesse.
Nous pouvons interpréter les émotions par les mouvements de notre corps. Par exemple, si notre corps va en arrière, c’est plutôt la peur. Si notre corps va en avant, c’est plutôt de la colère qui s’exprime !
Pour bien comprendre les émotions, je vous invite à visionner cette courte vidéo particulièrement explicative.
Rappelons ou découvrons qu’une simple minute de colère nécessite à notre cerveau, 1 heure pour faire le vide et redevenir normal donc … restons calme et tentons de mobiliser notre énergie à bien mieux que la colère.
Alors, il faut tout faire pour privilégier des actions pour revenir à la joie ! Cette dernière, c’est bien la seule émotion que le cerveau cherche à atteindre systématiquement. La joie est liée à la satisfaction. Notre corps s’ouvre et va vers le haut ! On est plus créatif lorsqu’on est dans la joie.
Le peur et une émotion d’anticipation. Elle nous emmène à reculer et nous fait prendre conscience de nos limites. C’est un marqueur intéressant qui signifie qu’il faut se préparer à la dépasser.
La colère est une réaction de protection. Elle résulte d’une frustration, d’un sentiment d’injustice, …
La tristesse elle, nous prépare au renoncement. C’est un sentiment d’impuissance mais elle est nécessaire vers un nouveau départ, un nouveau chapitre de vie.
Emotions et stress ? lien évident ?
Et pour conclure, le stress dans tout ceci … il est malheureusement bien existant chez tous les individus alors … pour en diminuer son empreinte nous pouvons :
- Accepter que ce n’est qu’une perception.
- Le flou est le grand ami du stress !
- Si c’est flou on a une perception fausse de la réalité.
- Vérifier que sa propre exigence ne vient pas ajouter de la pression à l’exigence de l’environnement. Etre bienveillant avec soi-même c’est d’abord lâcher sa propre pression.
2 commentaires
Bonjour Régis
J’avoue ne pas avoir tout capter du dernier message mais les 2 premiers en revanche sont frappants de vérité.La démonstration par l’exemple est excellente.
Il est vrai que le sourire fait du bien à celui qui le reçoit s’il y a quelqu’un et à soi même pour la bonne sensation qu’il donne presque immédiatement.
Je deteste parler en public et je sais que ça m’a coûté de bonnes opportunités dans mon boulot. Et à la fois ces opportunités m’auraient pris du temps sur ce que j’aime le plus qui n’est pas du tout le boulot.
Donc je ne sais pas si c’est le stress qui m’a empêché de progresser ou le manque d’envie tout simplement. Un peu des deux combinés?
Avec le temps j’ai appris à ne pas être trop sombre où trop fermé.L’ouverture aux autres n’étant pas ma qualité première!!!
Ce fut et c’est encore un rude travail de chaque jour.
Super article que tu nous as fait là.
Merci bcp .
Bonne fin d’année à toi et aux tiens.