Nous rejoignons le Col de Cuvery (altitude 1214m) et son large parking. Notre objectif est de partir à la découverte de ce grand et large plateau du Retord localisé dans l’Ain et qui amorce la descente du Massif du Jura vers la plaine de l’Ain
Un lieu sauvage …
Pour commencer, là haut, la nature est préservée. Pourtant, la ville est toute proche, l’immensité est à peine troublée par la présence de quelques rares maisons. Certaines semblent toute même habitées toute l’année. Paradis en hiver du ski de fond, de la pratique de la raquette et de la découverte en attelage de chiens de traineaux. Aussi, en été, c’est en randonnée ou à VTT que l’on peut découvrir ses multiples facettes.
Des itinéraires multiples …
Finalement, de notre côté, nous choisissons de parcourir cet ex secteur maquisard en suivant le sentier de la Grande Traversée du Jura (GTJ). Après un passage dans une belle combe bordée de magnifiques sapins nous arrivons au début du plateau. En fait, ce premier contact nous permet d’en mesurer une certaine grandeur.
Une météo changeante …
Ce jour là, la lumière est étonnante. Elle oscille entre la noirceur du gris de la brume d’humidité qui remonte du fond des vallées. Puis tour à tour un timide voir un grand soleil apparait sur un fond de ciel bleu. Celui-ci réchauffe nos corps et nos esprits dans cette magique découverte.
L’évolution constante de la météo ce jour là apporte une importante dose de mystère au fur et à mesure de notre avancée sur le tracé. Le paysage, l’environnement se dévoile progressivement pour notre plus grand plaisir. Il se mérite ce plateau …
Nous trouvons auprès de quelques rochers exposés à un large soleil l’endroit idéal pour partager un repas commun fait de spécialités régionales pour le plus grand bonheur de notre groupe d’amis. Les sourires du groupe sont des manifestations d’un bonheur simple et du plaisir d’être tous ensemble dans un si bel endroit.
Pour conclure, vous pouvez aussi découvrir les impressions photographiques de Sophie sur ce plateau par ici.
4 commentaires
Belle randonnée que je ne connais pas.
Tu la rends vivante par le texte et les images qui nous emmènent presque avec vous.
Bonne fin d’année Régis